Vendredi 26 juillet une température plus normale m’a permis d’approcher ce brocard couché dans une plantation de prunier entre la chevrette et son petit. Six yeux à surveiller, pas après pas et arrivé à une vingtaine de mètres j’ai attendu qu'il reprenne sa course derrière la chevrette et j’ai pu lâcher ma flèche.
Une longue approche pleine d’émotion et une grande satisfaction dans la pratique de ce mode de chasse qui nous rapproche de la nature et de nos origines...
Sandrine